Résumé du tome 01
Lors d’une nuit pluvieuse, Tomu Shirasagi, âgé de 14 ans seulement, fut déposé au portail d’une grande académie réputée pour être l’élite dans son domaine : l’académie Shishidou. Mais, Shirasagi arrivait tout droit d’une école publique et son intégration allait s’avérer plus difficile que prévue. Sa première rencontre fut celle de Mizuhara, le délégué de la classe dans laquelle notre jeune homme allait être envoyé. Très vite, ils firent connaissance et se lièrent d’une amitié fébrile. Seulement, les élèves venant des écoles publiques ne sont pas très bien vus et les provocations afin de faire partir Tomu commencèrent dés les premiers jours. Malgré cette ambiance tendue, c’est Shirasagi qui entra en action afin de réaliser son plan : mettre l’académie Shishidou à genoux.
Après ses provocations envers la fille du doyen de l’académie, Mika Shishidou, Shirasagi dû se confronter à un membre de troisième année du conseil de discipline, Aoto. Le premier duel allait commencer ! Le but est simple*, ce n’est pas un combat physique mais un combat d’intellect. Une sorte de chasse au trésor où le but est de trouver une pièce de 100 Yens cachée dans une classe. Ensuite, sur un papier, l’emplacement de la pièce est noté. Mais ce papier sera entouré par 19 autres où un faux emplacement y est indiqué. Par dessus le marché, une limite de temps d’une minute ne devra pas être franchie. L’enjeu ? Le gagnant pourra demander ce qu’il veut au perdant.
* Remarque checkeur: dans le paragraphe ci-dessus -> on est au passé puis on passe au présent. Certaines répétitions à éviter.
À priori, tout devait se dérouler normalement, mais c’était sans compter sur la mauvaise foi et la triche qu’exerça l’adversaire de Shirasagi. Après un certains temps, mis à l’écart, Tomu, les yeux bandés, entra dans le local en question. À première vue, il n’avait aucune chance. Nous pouvions même dire qu’il se tirait une balle dans le pied. Mais contre toute attente, l’inverse se produisit. En réalité, Aoto n’avait pas noté l’emplacement de la pièce sur l’un des 20 morceaux de papier. Tomu le savait. Il a donc usé d’un stratagème bien spécifique nommé « direction ». Celui-ci a pour but de faire pointer le regard des personnes concernées vers un endroit sans qu’ils ne s’en rendent compte. Ainsi, il avait pu voir, en enlevant son bandeau, le regard de certains aller vers l’endroit où se situait la carte. De cette manière, il avait réussi à gagner son pari.
À la suite de sa démonstration, Tomu acquis renommée et craintes. Cependant, Shirasagi n’eut à peine le temps de se changer qu’un nouveau défi l’attendait au tournant. Cette fois-ci, c’était Kaizuka, le chef du dortoir qui lui en voulait car il n’avait pas apprécié l’image qu’il avait donnée de son ami, Aoto. Le deuxième défi allait avoir lieu ! À nouveau, ce jeu était parmi les plus simples qu’ils soient : c’était un jeu de pile ou face. Mais pour ce jeu, Tomu préféra prendre ses précautions et éviter toutes tricheries, c’est pourquoi il demanda à Mika d’endosser le rôle d’arbitre. Il rajouta, également, une règle. Il fallait placer une carte de telle sorte que si on pronostiquait que la pièce tombait sur pile, c’était une chiffrée. L’inverse pour le côté face. La partie pouvait enfin commencer. Si Tomu gagnait, il empochait 300 000 Yen. Dans le cas contraire, il devait partir de l’académie.
Cependant, un fait que Tomu ne pouvait calculer était que Kaizuka était le capitaine de l’équipe de Ping-Pong. Il était à cette place, non seulement grâce à son talent de pongiste mais également car il a un don: le don de la vision cinétique qui permet de voir les moindres détails d’une pièce ou d’une balle à une vitesse constante. Malgré cela, Tomu resta confiant. Il alla même jusqu’à prédire la défaite de Kaizuka au dernier lancé. Shirasagi, alors qu’ils avaient tout deux réussit tous leurs pronostics, nous expliqua d’où venait cette confiance. Lui aussi avait la vision cinétique et il le prouva en donnant la date de la pièce. Kaizuka, n’ayant pas fait attention à cette date, fut déboussolé par cette annonce. Il consacra le dernier lancé à voir si la date était bonne et non pas si c’était pile ou face. Dés lors, il ne savait pas quelle carte. Cependant, il réussit à voir la carte, chiffrée, de Tomu sur le reflet de la table. Il ne devait plus douter et faire de même. Confiant lors de l’annonce des résultats, il tourna rapidement au rouge quand il vit que la dernière carte qu’il pensait bonne ne l’était pas. Il avait donc perdu. C’est à ce moment là, qu’un homme étrangement diabolique fit son entrée. Son nom était Abidani. Il ne tarda pas à tout raconter.
Tout d’abord, Tomu avait menti sur sa vision cinétique. Il n’en avait pas. Il avait utilisé la technique du « tour d’avance ». C’est à dire, le fait de placer une « carte-poubelle » en début de partie. De cette manière, alors que l’annonce du premier tour avait été faite, il plaça la carte en rapport avec le premier tour, en deuxième position. À partir de là, Shirasagi avait un tour de retard sur Kaizuka. Mais pour remédier à cette situation, Tomu se débarrassa de la carte-poubelle et il rajouta une sixième carte : Une carte-figure. Ensuite, il déplaça d’un cran, rapidement, toutes les cartes et le tour était joué. Il savait que c’était une carte figure qu’il devait mettre car il avait montré sa dernière carte (chiffrée) de telle sorte que Mika puisse la voir, également. Ainsi, sachant qu’elle ne l’aime pas, elle allait annoncer que c’était une figure. Pour ce qui est de l’année de la pièce, il avait tout simplement regardé avant la partie.
Ainsi, Tomu Shirasagi gagna son deuxième duel, 300 000 Yen et l’envie d’Abidani de le revoir jouer. Mais il gagna également la colère de Mika Shishidou. Cette façon de faire lui déplu au plus haut point. Mais pendant la nuit, un danger plus grand que la belle Mika l’attendait. Un nouveau défi ! Le lendemain, alors que la vie reprenait son cours, Tomu fit la rencontre de Kimura Natsumi, une jeune fille de première. Elle avait pour envie d’être son manager. Mais Tomu n’en avait guère besoin. Cependant, elle insista à tel point qu’elle proposa un petit duel où Shirasagi devait choisir entre le Joker ou la dame de cœur. A priori, rien de bien difficile puisque c’est un jeu de chance. Si Tomu tombait sur la carte Joker, il perdait, si c’était la dame, il gagnait. Toutefois, il brûla d’abord une des deux cartes sans savoir laquelle était-ce. En réalité, il avait rapidement vu l’arnaque, dans ce jeu. Il y avait deux cartes joker qui assurait sa défaite. Il paria donc que la carte restante était un Joker. Les autres élèves suivirent. Natsumi, honteuse de son piège grossier n’osait pas révéler la carte de peur d’être endettée. C’est alors qu’une fille, mystérieuse, apparue et souleva la carte. C’était la dame. Tomu, plus que déboussolé par sa première défaite, fut déboussolé par la venue de cette fille si intrigante.
Tomu décida donc de faire ses petites recherches concernant cette fille. Il remarqua qu’elle faisait partie de la même chambré que Natsumi Kimura. Elle portait le nom de Tsukiyono Yuka. Il en conclut qu’elles étaient de mèche. Mais rapidement, Kimura arriva pour démentir. Yuka était la seule responsable de la défaite de Tomu. Finalement, on apprit que le père de Yuka était un magicien. Ca expliquait la technique de professionnelle dont elle avait fait preuve. Mais ça n’allait pas s’arrêter juste à ce petit duel futile. En effet, Yuka Tsukiyono lança un défi à Shirasagi: Le black jack.
Le temps passa et le duel approcha à grand pas. Il était temps pour Tomu de voir ce que valait, réellement, cette magicienne qui visiblement, lui en voulait pour le fait qu’il use d’un moyen dérivé de la magie et qui insultait la mémoire de son défunt frère. Mais ce duel était assez diffèrent des autres. En effet, la cohue qu’il avait engendrée n’avait d’égale que la importance de la mise qui était en jeu: 600 000 Yen. Mais Tomu n’avait pas les 600 000 requit. Il dût donc emprunter à Abidani qui ajouta une condition : En cas de défaite, Tomu devra partir de l’académie.
Concernant les règles, elles étaient en tous points identiques à celle d’un casino. Et le but étant de se rapprocher le plus possible de 21. Le défi pouvait commencer. Le premier jeu de Tomu était un 21 avec un as de pique. (À première vue, il avait gagné la première manche. Cependant, Yuka avait également 21 avec un as de pique. Elle changea ensuite à une vitesse telle que personne ne le vit le jeu afin qu’il n’y ait que des as de pique. De cette manière, elle prouva que le jeu était truqué et la manche était annulée. Malgré ce retournement de situation Tomu resta confiant.)
Malgré cette confiance à toutes épreuves, il se vit infliger dix défaites consécutives. Dés lors, on ne pouvait penser à autre chose qu’à la défaite de Shirasagi. Jusqu’à ce qu’à un tour, il décide de prendre une nouvelle carte alors qu’il était déjà à 20 et que tous les as étaient utilisé. Il ne pouvait pas gagner cette manche. Mais à la manche suivante il alla jusqu’à parier 20 jetons en une fois. Yuka, persuadée que c’était du bluff, n’y prêta pas attention. Mais c’était sans compter un facteur : le changement de paquet. Elle demanda, pour le nouveau paquet, à Tomu de couper. Ce que celui-ci s’empressa de faire. Cependant, il le fit d’une manière peu singulière. En effet, il coupa de telle sorte qu’il ne resta que la dernière carte du paquet, d’un côté et tout le reste de l’autre. Mais ce n’était pas tout. Avec une rose, il marqua la carte mise à l’écart afin que Yuka ne puisse pas la changée avec une autre. Mais cette rose avait un tout autre but que de marquer la carte. Par ce fait, Tomu voulait faire perdre toute la confiance que Yuka pouvait avoir et malgré qu’il ait perdu la manche, il semblerait qu’il ait réussit son pari..
Après ses provocations envers la fille du doyen de l’académie, Mika Shishidou, Shirasagi dû se confronter à un membre de troisième année du conseil de discipline, Aoto. Le premier duel allait commencer ! Le but est simple*, ce n’est pas un combat physique mais un combat d’intellect. Une sorte de chasse au trésor où le but est de trouver une pièce de 100 Yens cachée dans une classe. Ensuite, sur un papier, l’emplacement de la pièce est noté. Mais ce papier sera entouré par 19 autres où un faux emplacement y est indiqué. Par dessus le marché, une limite de temps d’une minute ne devra pas être franchie. L’enjeu ? Le gagnant pourra demander ce qu’il veut au perdant.
* Remarque checkeur: dans le paragraphe ci-dessus -> on est au passé puis on passe au présent. Certaines répétitions à éviter.
À priori, tout devait se dérouler normalement, mais c’était sans compter sur la mauvaise foi et la triche qu’exerça l’adversaire de Shirasagi. Après un certains temps, mis à l’écart, Tomu, les yeux bandés, entra dans le local en question. À première vue, il n’avait aucune chance. Nous pouvions même dire qu’il se tirait une balle dans le pied. Mais contre toute attente, l’inverse se produisit. En réalité, Aoto n’avait pas noté l’emplacement de la pièce sur l’un des 20 morceaux de papier. Tomu le savait. Il a donc usé d’un stratagème bien spécifique nommé « direction ». Celui-ci a pour but de faire pointer le regard des personnes concernées vers un endroit sans qu’ils ne s’en rendent compte. Ainsi, il avait pu voir, en enlevant son bandeau, le regard de certains aller vers l’endroit où se situait la carte. De cette manière, il avait réussi à gagner son pari.
À la suite de sa démonstration, Tomu acquis renommée et craintes. Cependant, Shirasagi n’eut à peine le temps de se changer qu’un nouveau défi l’attendait au tournant. Cette fois-ci, c’était Kaizuka, le chef du dortoir qui lui en voulait car il n’avait pas apprécié l’image qu’il avait donnée de son ami, Aoto. Le deuxième défi allait avoir lieu ! À nouveau, ce jeu était parmi les plus simples qu’ils soient : c’était un jeu de pile ou face. Mais pour ce jeu, Tomu préféra prendre ses précautions et éviter toutes tricheries, c’est pourquoi il demanda à Mika d’endosser le rôle d’arbitre. Il rajouta, également, une règle. Il fallait placer une carte de telle sorte que si on pronostiquait que la pièce tombait sur pile, c’était une chiffrée. L’inverse pour le côté face. La partie pouvait enfin commencer. Si Tomu gagnait, il empochait 300 000 Yen. Dans le cas contraire, il devait partir de l’académie.
Cependant, un fait que Tomu ne pouvait calculer était que Kaizuka était le capitaine de l’équipe de Ping-Pong. Il était à cette place, non seulement grâce à son talent de pongiste mais également car il a un don: le don de la vision cinétique qui permet de voir les moindres détails d’une pièce ou d’une balle à une vitesse constante. Malgré cela, Tomu resta confiant. Il alla même jusqu’à prédire la défaite de Kaizuka au dernier lancé. Shirasagi, alors qu’ils avaient tout deux réussit tous leurs pronostics, nous expliqua d’où venait cette confiance. Lui aussi avait la vision cinétique et il le prouva en donnant la date de la pièce. Kaizuka, n’ayant pas fait attention à cette date, fut déboussolé par cette annonce. Il consacra le dernier lancé à voir si la date était bonne et non pas si c’était pile ou face. Dés lors, il ne savait pas quelle carte. Cependant, il réussit à voir la carte, chiffrée, de Tomu sur le reflet de la table. Il ne devait plus douter et faire de même. Confiant lors de l’annonce des résultats, il tourna rapidement au rouge quand il vit que la dernière carte qu’il pensait bonne ne l’était pas. Il avait donc perdu. C’est à ce moment là, qu’un homme étrangement diabolique fit son entrée. Son nom était Abidani. Il ne tarda pas à tout raconter.
Tout d’abord, Tomu avait menti sur sa vision cinétique. Il n’en avait pas. Il avait utilisé la technique du « tour d’avance ». C’est à dire, le fait de placer une « carte-poubelle » en début de partie. De cette manière, alors que l’annonce du premier tour avait été faite, il plaça la carte en rapport avec le premier tour, en deuxième position. À partir de là, Shirasagi avait un tour de retard sur Kaizuka. Mais pour remédier à cette situation, Tomu se débarrassa de la carte-poubelle et il rajouta une sixième carte : Une carte-figure. Ensuite, il déplaça d’un cran, rapidement, toutes les cartes et le tour était joué. Il savait que c’était une carte figure qu’il devait mettre car il avait montré sa dernière carte (chiffrée) de telle sorte que Mika puisse la voir, également. Ainsi, sachant qu’elle ne l’aime pas, elle allait annoncer que c’était une figure. Pour ce qui est de l’année de la pièce, il avait tout simplement regardé avant la partie.
Ainsi, Tomu Shirasagi gagna son deuxième duel, 300 000 Yen et l’envie d’Abidani de le revoir jouer. Mais il gagna également la colère de Mika Shishidou. Cette façon de faire lui déplu au plus haut point. Mais pendant la nuit, un danger plus grand que la belle Mika l’attendait. Un nouveau défi ! Le lendemain, alors que la vie reprenait son cours, Tomu fit la rencontre de Kimura Natsumi, une jeune fille de première. Elle avait pour envie d’être son manager. Mais Tomu n’en avait guère besoin. Cependant, elle insista à tel point qu’elle proposa un petit duel où Shirasagi devait choisir entre le Joker ou la dame de cœur. A priori, rien de bien difficile puisque c’est un jeu de chance. Si Tomu tombait sur la carte Joker, il perdait, si c’était la dame, il gagnait. Toutefois, il brûla d’abord une des deux cartes sans savoir laquelle était-ce. En réalité, il avait rapidement vu l’arnaque, dans ce jeu. Il y avait deux cartes joker qui assurait sa défaite. Il paria donc que la carte restante était un Joker. Les autres élèves suivirent. Natsumi, honteuse de son piège grossier n’osait pas révéler la carte de peur d’être endettée. C’est alors qu’une fille, mystérieuse, apparue et souleva la carte. C’était la dame. Tomu, plus que déboussolé par sa première défaite, fut déboussolé par la venue de cette fille si intrigante.
Tomu décida donc de faire ses petites recherches concernant cette fille. Il remarqua qu’elle faisait partie de la même chambré que Natsumi Kimura. Elle portait le nom de Tsukiyono Yuka. Il en conclut qu’elles étaient de mèche. Mais rapidement, Kimura arriva pour démentir. Yuka était la seule responsable de la défaite de Tomu. Finalement, on apprit que le père de Yuka était un magicien. Ca expliquait la technique de professionnelle dont elle avait fait preuve. Mais ça n’allait pas s’arrêter juste à ce petit duel futile. En effet, Yuka Tsukiyono lança un défi à Shirasagi: Le black jack.
Le temps passa et le duel approcha à grand pas. Il était temps pour Tomu de voir ce que valait, réellement, cette magicienne qui visiblement, lui en voulait pour le fait qu’il use d’un moyen dérivé de la magie et qui insultait la mémoire de son défunt frère. Mais ce duel était assez diffèrent des autres. En effet, la cohue qu’il avait engendrée n’avait d’égale que la importance de la mise qui était en jeu: 600 000 Yen. Mais Tomu n’avait pas les 600 000 requit. Il dût donc emprunter à Abidani qui ajouta une condition : En cas de défaite, Tomu devra partir de l’académie.
Concernant les règles, elles étaient en tous points identiques à celle d’un casino. Et le but étant de se rapprocher le plus possible de 21. Le défi pouvait commencer. Le premier jeu de Tomu était un 21 avec un as de pique. (À première vue, il avait gagné la première manche. Cependant, Yuka avait également 21 avec un as de pique. Elle changea ensuite à une vitesse telle que personne ne le vit le jeu afin qu’il n’y ait que des as de pique. De cette manière, elle prouva que le jeu était truqué et la manche était annulée. Malgré ce retournement de situation Tomu resta confiant.)
Malgré cette confiance à toutes épreuves, il se vit infliger dix défaites consécutives. Dés lors, on ne pouvait penser à autre chose qu’à la défaite de Shirasagi. Jusqu’à ce qu’à un tour, il décide de prendre une nouvelle carte alors qu’il était déjà à 20 et que tous les as étaient utilisé. Il ne pouvait pas gagner cette manche. Mais à la manche suivante il alla jusqu’à parier 20 jetons en une fois. Yuka, persuadée que c’était du bluff, n’y prêta pas attention. Mais c’était sans compter un facteur : le changement de paquet. Elle demanda, pour le nouveau paquet, à Tomu de couper. Ce que celui-ci s’empressa de faire. Cependant, il le fit d’une manière peu singulière. En effet, il coupa de telle sorte qu’il ne resta que la dernière carte du paquet, d’un côté et tout le reste de l’autre. Mais ce n’était pas tout. Avec une rose, il marqua la carte mise à l’écart afin que Yuka ne puisse pas la changée avec une autre. Mais cette rose avait un tout autre but que de marquer la carte. Par ce fait, Tomu voulait faire perdre toute la confiance que Yuka pouvait avoir et malgré qu’il ait perdu la manche, il semblerait qu’il ait réussit son pari..
